


Dans l’instant qui précède l’explosion d’un feu d’artifice, onze interprètes bricolent un ultime spectacle comme on attise une mèche. Ils et elles sont obstiné.e.s, fragiles, exalté.e.s, comme pris dans une tempête d’images, de danses et d’objets abandonnés.
Danseur et chorégraphe pyromane, Némo Flouret embrase la scène de trompettes écorchées, rythmes fêlés, éclats de lumière et nuages de fumée orchestrés par le maître artificier Joseph Couturier. La scénographie, conçue avec Philippe Quesne, érige des fragments de gradins, de bâches et de carcasses métalliques qui se métamorphosent au gré des vents. Les costumes signés Satoshi Kondo habillent les corps de surgissements chromatiques ; ils crépitent puis se dispersent, comme des étincelles textiles. Dans le feu de cet espace-temps suspendu, les interprètes ne cèdent rien à la cadence : danses en boucle, fanfares avortées, chorus de voix comme animés par une énergie de fin du monde, refusant inlassablement de sombrer. Derniers Feux capture l’ambivalence même d’une gerbe céleste chorégraphique en alternant l’attente, l’espoir, la frustration, l’éclat, puis le silence. Entre vertige collectif et rêve lucide, le spectacle interroge : et si chaque représentation était la dernière ?
La scénographie, conçue avec Philippe Quesne, érige des fragments de gradins, de bâches et de carcasses métalliques qui se métamorphosent au gré des vents. Les costumes signés Satoshi Kondo habillent les corps de surgissements chromatiques ; ils crépitent puis se dispersent, comme des étincelles textiles. Derniers Feux capture l’ambivalence même d’une gerbe céleste chorégraphique en alternant l’attente, l’espoir, la frustration, l’éclat, puis le silence.
Entre vertige collectif et rêve lucide, le spectacle interroge : et si chaque représentation était la dernière ?
La représentation du 26 est suivie d’un DJ set de KUKII.
La musique de KUKII s’élève comme un cri de ralliement, un appel à briser les frontières, à renverser les perceptions, et à arpenter de nouveaux territoires : une invitation à une profonde introspection, à une exploration de soi comme chemin de libération. Imaginez KUKII comme l’enfant illégitime d’une fusion explosive : MIA, Sherine et Siouxsie Sioux réunies à l’arrière d’une Chrysler LeBaron mauve, traversant Le Caire en trombe avec du Mahraganat résonant à plein volume, tandis que Pharrell surprend la scène à un feu rouge.
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Dans l’instant qui précède l’explosion d’un feu d’artifice, onze interprètes bricolent un ultime spectacle comme on attise une mèche. Ils et elles sont obstiné.e.s, fragiles, exalté.e.s, comme pris dans une tempête d’images, de danses et d’objets abandonnés.

Danseur et chorégraphe pyromane, Némo Flouret embrase la scène de trompettes écorchées, rythmes fêlés, éclats de lumière et nuages de fumée orchestrés par le maître artificier Joseph Couturier. La scénographie, conçue avec Philippe Quesne, érige des fragments de gradins, de bâches et de carcasses métalliques qui se métamorphosent au gré des vents. Les costumes signés Satoshi Kondo habillent les corps de surgissements chromatiques ; ils crépitent puis se dispersent, comme des étincelles textiles. Dans le feu de cet espace-temps suspendu, les interprètes ne cèdent rien à la cadence : danses en boucle, fanfares avortées, chorus de voix comme animés par une énergie de fin du monde, refusant inlassablement de sombrer. Derniers Feux capture l’ambivalence même d’une gerbe céleste chorégraphique en alternant l’attente, l’espoir, la frustration, l’éclat, puis le silence. Entre vertige collectif et rêve lucide, le spectacle interroge : et si chaque représentation était la dernière ?
La scénographie, conçue avec Philippe Quesne, érige des fragments de gradins, de bâches et de carcasses métalliques qui se métamorphosent au gré des vents. Les costumes signés Satoshi Kondo habillent les corps de surgissements chromatiques ; ils crépitent puis se dispersent, comme des étincelles textiles. Derniers Feux capture l’ambivalence même d’une gerbe céleste chorégraphique en alternant l’attente, l’espoir, la frustration, l’éclat, puis le silence.
Entre vertige collectif et rêve lucide, le spectacle interroge : et si chaque représentation était la dernière ?

La représentation du 26 est suivie d’un DJ set de KUKII.
La musique de KUKII s’élève comme un cri de ralliement, un appel à briser les frontières, à renverser les perceptions, et à arpenter de nouveaux territoires : une invitation à une profonde introspection, à une exploration de soi comme chemin de libération. Imaginez KUKII comme l’enfant illégitime d’une fusion explosive : MIA, Sherine et Siouxsie Sioux réunies à l’arrière d’une Chrysler LeBaron mauve, traversant Le Caire en trombe avec du Mahraganat résonant à plein volume, tandis que Pharrell surprend la scène à un feu rouge.